Ma révélation de chienne soumise me vient d’une rencontre organisée par mon Maître de l’époque, un de ses hommes qui doit quitter sa femme et ne le fait jamais. Je l’ai aimé pour rien tant pis pour moi. Il m’a au moins apporté quelque chose avec son BDSM à lui c’est de me découvrir et de découvrir les sensations jouissive de l’humiliation voici mon aventure On est allé chez un Maître c’était il y a 2 ans j’étais presque nue sous mon manteau avec un serre taille et des bas résilles comme vetements. Arrivé devant la porte de l’inconnu au 8eme étage d’un immeuble Maître P m’a posé un bandeau sur les yeux avant de sonner et il m’a rappelée que je ne devais rien refuser, m’a fait répéter ma promesse, pour lui j’aurai tout accepté. Quand j’ai entendu la porte s’ouvrir j’étais très excitée bien que apeurée, on m’a faite entrer en me guidant dans l’appartement. Maître P lui a dit elle est à vous pour la soirée je ne savais pas tout à fait ce que ça voulait dire ni que j’allais aimer être une chienne soumise. L’homme a ouvert mon manteau qu’il a retiré puis a commencé à me toucher les seins en disant que j’avais de beaux nichons pour une chienne. Le mot chienne m’a vexée mais j’ai rien dit comme promis à mon Maître. J’ai du écarter les jambes et me laisser toucher il m’a fait un peu mal en enfonçant ses doigts dans ma chatte pour faire son inspection de la chienne comme il disait. J’ai du ouvrir la bouche et sucer ses doigts qui venaient de ma chatte puis me mettre à quatre pattes. Il voulait que je remue du cul comme une bonne chienne qui va se faire baiser puis il a dit saillir c’est mieux pour une chienne. Alors j’ai compris qu’il jouait avec les mots crus pour m’humilier car ses gestes étaient plus doux que ses paroles. Toujours à quatre pattes j’ai du évoluer dans le salon en tirant la langue comme une chienne essoufflée avant de devoir ouvrir la bouche en grand quand il m’a guidée entre ses jambes pour que je le suce. Je l’ai fait sans grande conviction alors il m’a donné des coups de martinet en tenant ma tête pour que le suce mieux, faire ça devant mon Maître me faisait encore plus honte que s’il m’avait laissé seule. Puis il m’a faite tourner pour que je lui monte mon cul qu’il a exploré avec un doigt en disant que j’étais bien serrée que je devais etre bonne quelle horreur. Il a mis du lubrifiant dans ma chatte et m’a fouillée longtemps en me disant de me cambrer pour bien m’offrir pendant qu’il m’enfonçait un gode dans les fesses en même temps. Il a pas tardé à se mettre derrière moi pour me baiser sans retirer le gode. Au début j’avais honte et un peu mal mais au bout d’un moment je ne savais plus où j’étais tellement j’étais troublée d’etre baisée comme ça à quatre pattes par un inconnu que je ne voyais meme pas. Quand ses coups de reins me défonçaient la chatte, en meme temps le gode bougeait dans mes fesses et c’est devenu bon si bon que j’ai jouis malgré la honte. Il a retiré le gode puis a voulu me sodomiser et j’ai dit non que je voulais pas. Il a dit qu’il avait payé pour les 3 trous et qu’il les voulait, mon Maître m’a rappelé à l’ordre puis et venu me tenir les mains. Il est allé doucement pour me sodomiser et après il s’est déchainé dans mes fesses comme un marteau piqueur. C’est très vite devenu bon, je me souviens que j’avais la tête posée par terre sur la moquette, me faire défoncer ainsi à quatre pattes comme une chienne a commencé à me plaire. Au plus il me traitait de chienne au plus j’étais heureuse de l’etre j’avais plus honte j’étais heureuse. J’ai du le nettoyer de ma langue mais sans son préservatif souillé pour le remercier de m’avoir baisée. Maître m’a remis mon manteau et on est partis comme nous étions arrivés. Malgré la honte j’ai aimé et c’est totalement fou, les mots crus m’ont beaucoup excitée je venais de découvrir l’humiliation d’après mon Maître. Ce que j’ai détesté le plus c’est qu’il n’est pas monté chez moi il m’a juste déposée devant ma porte avant de retourner chez sa femme. Je crois que c’est ce qui a été le plus dur et le début de la fin de notre relation.

Karine avec un K Pour moi plus de Maître marié ou en couple.